Eymeline Lecoutre psychologue clinicienne, praticienne EMDR

Psychologue clinicienne diplômée de Paris V, en 2001

DU de victimologie à Paris V, en 2003

Praticienne accréditée EMDR Europe, en 2019

Formation EMDR enfants validée en 2021

Numéro ADELI : 499 308 005 

Numéro SIRET : 824 412 506 000 19


Je suis psychologue clinicienne et j'ai choisi d’exercer une pratique dite intégrative parce qu'elle est souple et permet de s'adapter au mieux à chaque patient. Mon cœur de métier se centre sur la thérapie EMDR. 

 

De ma formation initiale d'orientation psychanalytique à l'université j'ai développé des capacités d'écoute profondes et une bonne compréhension des phénomènes psychiques et de la psychopathologie. Peu après l'obtention de mon diplôme je me suis formée à la victimologie. Puis j'ai exercé dans le secteur de la protection de l'enfance pendant une quinzaine d'années. Début 2017, je me suis installée en libéral afin de me consacrer pleinement au suivi thérapeutique et à l'amélioration de la vie des individus.

 

En 2017 j'ai débuté une formation qualifiante en EMDR car j'ai pu constater ses effets rapides et parfois étonnants tant sur moi-même que sur mes patients. En 2019 j'ai validé l'examen d'accréditation de praticien EMDR Europe. Pour maintenir ce titre les praticiens doivent ensuite suivre régulièrement des formations continues afin de rester au fait des dernières recherches. 


Athéna est une Cavalier King Charles née en juin 2017. Elle exerce à mes côtés depuis son arrivée chez nous fin août 2017. Elle est douce et sait se mettre de côté si vous le désirez mais elle est aussi très apaisante et chaleureuse et saura vous réconforter durant les inévitables moments de perturbations que nous traverserons ensemble en cours de thérapie.

 

Un autre petit Cavalier King Charles prénommé Cooky vous accueille au cabinet depuis 2020 au côté d'Athéna.

 

Actuellement les recherches en psychologie montrent les effets bénéfiques et apaisants de la présence d'un animal pendant les séances, notamment avec les personnes traumatisées.

 

Par exemple, la septième conférence internationale sur les relations entre les Hommes et les animaux, qui s’est déroulée à Genève en septembre 1995 sous le patronage des ministères de la santé américain et suisse, était soutenue par l’OMS. L’OMS tenait ainsi à : « marquer sa reconnaissance des effets positifs sur la santé que peut apporter l’animal de compagnie, notamment dans les domaines des maladies cardiovasculaires, des soins palliatifs, des maladies mentales et de la gériatrie » (FRADIN, 2009). 

L'animal a un impact sur notre physiologie :

En 1980, le Dr Friedmann a mis en évidence que le fait de caresser un animal de compagnie entrainait une baisse de la pression artérielle. 

En 2000, Odendaal et ses collaborateurs étudient la répercussion de la présence d’un chien sur des neurotransmetteurs impliqués dans la diminution du stress et de la tension artérielle (bêta-endorphines, ocytocine, prolactine, dopamine) ainsi que sur le cortisol. Les concentrations plasmatiques des bêta-endorphines, de l’ocytocine et de la prolactine augmentent de façon significative chez les personnes en contact avec un chien (par rapport à un contact humain). La concentration en cortisol, qui augmente en cas de stress, et la pression artérielle diminuent également de façon significative chez ces personnes. Ces variations sont effectives dès la 10ème minute d’interaction, il est donc préférable de privilégier des contacts avec l’animal courts et fréquents, plutôt que des séances longues et rares, notamment dans le cadre des chiens en institution (ODENDAAL, 2000). Des résultats similaires ont été observés chez le chien (exceptée la diminution de la cortisolémie), ce qui suggère qu’il tire également un bénéfice de cette interaction. 

L'animal a un impact sur la santé psychique, sa présence apaise :

Une diminution significative de l’anxiété chez des patients atteints de troubles psychiatriques a été observée après 30 minutes d’interaction avec un chien éduqué, par rapport à une séance de relaxation (BARKER & DAWSON, 1998). 

Une autre étude plus récente, effectuée à Berlin sur des personnes suicidaires atteintes de dépression sévère, met également en évidence une diminution significative de l’anxiété après une interaction de 30 minutes avec un chien éduqué, par rapport à un groupe témoin (HOFFMANN et al., 2009). 

 

Les mêmes résultats sont obtenus avec des patients souffrant de schizophrénie (LANG et al., 2010) et des personnes sous chimiothérapie (ORLANDI et al., 2007). 


Le cabinet :